L’aquariophilie est un passe-temps fascinant et apaisant qui attire bon nombre de gens. C’est un excellent moyen de créer un écosystème miniature dans le confort de sa maison. Toutefois, sélectionner un aquarium peut être une étape complexe. Pour trouver le bon, il existe un certain nombre d’astuces à mettre en pratique. Découvrez tout dans cet article. Déterminer le type de poissons Pour choisir votre aquarium, il est important au préalable de déterminer le type de poissons qui y vivra. Chaque espèce présente des besoins physiologiques et comportementaux uniques. Volume d’eau, aménagement, vie en groupe… Ces besoins varient énormément. Pour le bien-être de vos poissons, vous devez les considérer avec précaution. À titre d’exemple, le platy est une espèce qui a besoin de vivre dans des espaces grands et dotés de végétation afin de se développer. Ce poisson a aussi besoin d’être en groupe pour son bien-être. C’est également le cas des Discus, dont la croissance nécessite beaucoup d’espace. Aussi, ils ont besoin d’évoluer dans des groupes de 4 à 5 membres. Les Néons bleus ont également besoin de vivre dans un grand aquarium d’au moins 100 litres et de rester en groupe pour leur bien-être. Par contre, les espèces comme les guppys se contentent d’un petit bassin pour vivre et s’épanouir. Ceux-ci sont très résistants et peuvent même supporter l’eau du robinet. Pour cette raison, ils sont recommandés pour les débutants en aquariophilie. On retrouve également ces caractéristiques chez le poisson Combattant du Siam. Ce dernier peut vivre seul et est capable d’évoluer sans contrainte dans un petit bac. Vous pouvez contacter cette boutique qui vend des aquariums à Metz pour en apprendre plus sur les différentes espèces de poissons. Tenir compte de la taille et du volume de l’aquarium La taille et le volume de votre aquarium sont un point crucial à considérer. Concernant la taille, le choix dépend de deux éléments, notamment la taille des poissons et le nombre d’habitants dans le bac. Si vous êtes débutant en aquariophilie, il est conseillé d’opter pour un aquarium de faible contenance. Si vous choisissez un aquarium d’eau douce, la taille minium est de 120 litres. Mais pour un aquarium d’eau de mer, elle grimpe à 300 litres. Ce petit aquarium peut accueillir qu’un poisson. Aussi, il ne nécessite pas un entretien régulier, car les paramètres physico-chimiques évoluent moins vite comparativement dans un grand volume d’eau. Par contre, si vous souhaitez disposer d’un grand nombre de poissons, privilégiez un aquarium de grande taille. Ce type de bassin offre suffisamment d’espace pour accueillir une variété de poissons. Ces derniers peuvent nager facilement, être moins stressés et sont moins sensibles aux maladies. De même, un aquarium grand de taille est relativement facile à entretenir. Quant au volume de l’aquarium, vous devez tenir compte des besoins de vos poissons. Généralement, il est conseillé de considérer un centimètre de poisson adulte pour un litre d’eau. Ainsi, si vous souhaitez acheter par exemple une dizaine de poissons de 5 cm chacun, vous devez opter pour un aquarium de 100 litres. Par contre, pour les

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Le comparateur MeilleurTaux a établi un palmarès des territoires français où l’assurance complémentaires est la plus abordable pour les particuliers. L’enquête opère un zoom sur un public particulièrement sensible à l’évolution du niveau de cotisations : les seniors. Sans grande surprise, l’inflation entraîne dans sa spirale le secteur des assurances privées : d’après une enquête réalisée par le comparateur Meilleurtaux, en partenariat avec Europe 1 et le journal économique Les Echos, le budget moyen consacré en 2022 par les ménages avec deux enfants à leur complémentaire santé a progressé de +6 ,55% par rapport à l’an dernier : cette estimation porte sur les contrats de garantie classique, dont le montant serait passé à 1 172 euros cette année, contre 1 100 euros il y a douze mois. 7 euros de hausse pour les séniors Une nuance : toutes les tranches d’âge ne sont pas concernées par ce renchérissement. Il épargne notamment les retraités. Pour ce public, particulièrement exposé aux risques de maladie, les tarifs de la mutuelle senior ont affiché un relative stabilité en 2022 (+7 euros d’augmentation seulement). Cette accalmie est d’autant mieux accueillie par les plus de soixante ans que cette population, mécaniquement confrontée aux coûts d’assurance les plus chers, a particulièrement mal supporté les hausses régulières de prix pratiquées par leur compagnie depuis une dizaine d’années : une flambée durement ressentie par une catégorie qui, structurellement, doit aussi composer avec des revenus inférieurs à celui des actifs, et s’astreindre à des contrôles et des soins plus fréquents.   Selon Meilleurtaux, leur niveau de cotisation a atteint 2 890 euros en moyenne sur l’ensemble du dernier exercice. Un montant qui, malgré la stagnation, se situe toujours dans une fourchette très haute. Metz et la Moselle s’en sortent bien ! Le président de Meilleurtaux constate « une très forte croissance du niveau de consommation  et de bien médicaux au sein de la population globale ». Dans ce contexte, il ajoute que les mutuelles ont sans doute réparti de manière plus équilibrée l’effort demandé à l’ensemble de leurs adhérents, afin d’éviter d’alourdir encore le budget santé des « anciens », largement mis à contribution au cours des années précédentes. Rappelons qu’à ce stade, les assurance n’ont toujours pas pris l’engagement de contenir les tarifs de leurs mutuelles  sous la barre de l’inflation, contrairement aux promesses annoncée en ce sens sur les contrats d’habitation et automobile. Certes, en termes de prix, tous les français ne sont pas logés à la même enseigne : d’après une estimation toujours réalisée par Meilleurstaux, mais sur la base de critères géographiques cette fois, la Moselle (chef-lieu : Metz) est le département où un couple de sexagénaires acquittent la cotisation annuelle la plus basse pour une assurance complémentaire dotées de garanties renforcées : le montant moyen d’un tel contrat s’y établit à 2 165 euros.  Deux autres départements du Grand Est complètent ce podium : la Haut-Rhin (2 184 euros) et le Bas-Rhin (2 185 euros). Suivent en quatrième et cinquième postion, l’Allier (2 779 euros) et le Morbihan (2 802).

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